Vous dites : « C’est épuisant de s'occuper des enfants.» Vous avez raison. Vous ajoutez : « Parce que nous devons nous mettre à leur niveau. Nous baisser, nous pencher, nous courber, nous rapetisser. » Là, vous vous trompez. Ce n'est pas tant cela qui fatigue le plus, que le fait d'être obligé de nous élever jusqu'à la hauteur de leurs sentiments. De nous élever, nous étirer, nous mettre sur la pointe des pieds, nous tendre. Pour ne pas les blesser.

Janusz Korczak, Quand je redeviendrai petit (prologue), AFJK.

violence institutionnelle

D’un bout à l’autre de l’existence, une même violence…

Par Amandine C., membre de l’OVEO L’un de mes meilleurs amis, arborant 85 printemps encore bien fringants, se voit empêché dans un projet qui lui tient à cœur, et qu’il serait parfaitement capable de mener à bien, au seul motif de son âge. Toute sa vie durant, tant au niveau professionnel que personnel, cet ami […]

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