Vous dites : « C’est épuisant de s'occuper des enfants.» Vous avez raison. Vous ajoutez : « Parce que nous devons nous mettre à leur niveau. Nous baisser, nous pencher, nous courber, nous rapetisser. » Là, vous vous trompez. Ce n'est pas tant cela qui fatigue le plus, que le fait d'être obligé de nous élever jusqu'à la hauteur de leurs sentiments. De nous élever, nous étirer, nous mettre sur la pointe des pieds, nous tendre. Pour ne pas les blesser.

Janusz Korczak, Quand je redeviendrai petit (prologue), AFJK.

Olivier Maurel

Lettre au Professeur Ph. Jeammet

Par Olivier Maurel Monsieur le Professeur, Si l’article du Monde d’aujourd’hui 9 janvier sur les punitions est fidèle à vos propos, vous auriez dit, à propos de la fessée : “Si cela n’est pas excessif, ce peut être une réaction saine à un moment donné. “ Je me permets de vous dire que de tels […]

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Interventions du président en 2007

Les activités de l’Observatoire, ce sont aussi les interventions, interviews et conférences données par son président. Interventions d’Olivier Maurel au cours de l’année 2007 : Mercredi 11 janvier : Rencontre à Paris dans les locaux de la Défenseure des enfants avec Catherine Claveau Milanetto, conseillère de Dominique Versini, Défenseure des enfants depuis mai 2006. Olivier […]

Réponse à un journal suisse à propos de l’enfant-roi

Le journal suisse Le Régional a publié le 28 novembre 2007 l’article que nous reproduisons ci-dessous : Le retour des enfants-rois Ce serait un monde merveilleux. Un monde dans lequel les enfants obéiraient aux parents. Il n’y aurait qu’à leur expliquer les choses calmement et hop, en un coup de baguette magique, ils auraient compris […]

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