Vous dites : « C’est épuisant de s'occuper des enfants.» Vous avez raison. Vous ajoutez : « Parce que nous devons nous mettre à leur niveau. Nous baisser, nous pencher, nous courber, nous rapetisser. » Là, vous vous trompez. Ce n'est pas tant cela qui fatigue le plus, que le fait d'être obligé de nous élever jusqu'à la hauteur de leurs sentiments. De nous élever, nous étirer, nous mettre sur la pointe des pieds, nous tendre. Pour ne pas les blesser.

Janusz Korczak, Quand je redeviendrai petit (prologue), AFJK.

écologie

Une lecture de L’Insolente, dialogues avec Pınar Selek

Par Amandine C., membre de l’OVEO Pınar Selek se mobilise contre tous les systèmes de domination, qu’elle constate imbriqués, telles les têtes multiples – et pareillement dangereuses – du corps unique d’une hydre monstrueuse. Cette image est de moi, Pınar, elle, parle d’une « pieuvre » aux « multiples tentacules ». Cela m’a amenée à la réflexion suivante, qui […]

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Changement de cap

Nous publions ici, avec l’autorisation de son auteur, l’éditorial du n° 52 de la revue La Maison écologique. Changement de cap « On peut habiter une maison écologique, manger bio, rouler à vélo et exploiter son voisin », lança Pierre Rabhi lors d’une conférence voici une dizaine d’années (1). Ces paroles prononcées par ce paysan-philosophe […]

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Une pollution méconnue : la violence éducative

Par Olivier Maurel, 2003, revu en 2008. Peu d’écologistes jusqu’à présent se sont préoccupés d’une des atteintes les plus radicales à notre propre nature, qui touche la majorité des enfants venant en ce monde. Je veux parler de la perturbation du cerveau des enfants par la violence éducative ordinaire, celle à laquelle recourent en toute […]

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