Vous dites : « C’est épuisant de s'occuper des enfants.» Vous avez raison. Vous ajoutez : « Parce que nous devons nous mettre à leur niveau. Nous baisser, nous pencher, nous courber, nous rapetisser. » Là, vous vous trompez. Ce n'est pas tant cela qui fatigue le plus, que le fait d'être obligé de nous élever jusqu'à la hauteur de leurs sentiments. De nous élever, nous étirer, nous mettre sur la pointe des pieds, nous tendre. Pour ne pas les blesser.

Janusz Korczak, Quand je redeviendrai petit (prologue), AFJK.

agressivité

Les hommes et la violence (2/5)

La compagne de Kenneth a fini par lui poser un ultimatum Par Gert Svensson Publié par le quotidien suédois Dagens Nyheter le 24/11/2008 Quand Kenneth serrait les poings et se battait, il sentait la chaleur et le calme dans son corps. « D’un seul coup, j’étais fort, puissant, supérieur – tout le contraire de ce que […]

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« Enfant violent, enfant rejeté » : une étude québécoise

Un article publié en octobre 2008 dans la revue Archives of General Psychiatry et cité en janvier 2009 par le journal québécois Le Soleil résume les résultats d’une importante étude longitudinale menée par des chercheurs en psychologie de l’Université Laval de Montréal sur les conséquences de la victimisation en bas âge. Les résultats de cette […]

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Les conséquences des châtiments corporels

1. Les enfants dont les parents utilisent les châtiments corporels pour arrêter le comportement antisocial ont un comportement plus anti-social sur le long terme, indépendamment du statut socio-économique, et indépendamment du fait que la mère fournit une bonne stimulation cognitive et un soutien affectif : • Gunnoe, M.L & Mariner,C.L (1997) « Toward a developmental-contextual model […]

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