Il est urgent de promouvoir la culture du respect de l’enfant comme “ultime révolution possible” et comme élément fondamental de transformation sociale, culturelle, politique et humaine de la collectivité.

Maria Rita Parsi, psychologue italienne.

Revue de presse

2024

Octobre

Le CESE (Conseil économique, social et environnemental) nous informe qu'a été adopté le 10 septembre en séance plénière le rapport et avis « Éduquer à la vie affective, relationnelle et sexuelle ». Nous sommes heureux·ses d'apprendre que dans le cadre de ce travail, le CESE a mobilisé nos travaux, et notamment notre article de 2019 : « Notre lecture du rapport gouvernemental relatif aux "violences éducatives" ».

Nous nous réjouissons de lire dans le chapitre 1 du rapport (« L’EVARS : un droit pour l’émancipation des enfants, un devoir pour aller vers une société égalitaire ») : « Notre pays reste baigné par la culture de l’infantisme, qui désigne un ensemble de discriminations et de préjugés dirigés contre les enfants et les adolescentes et adolescents, uniquement en raison de leur "statut d’enfants". Cette notion va au-delà de la simple maltraitance ou négligence. Elle s’infiltre dans les attitudes, les politiques et les pratiques sociales, perpétuant une vision selon laquelle les enfants seraient des êtres inférieurs, moins compétents et donc, moins dignes de respect et d’autonomie. Ce sont ces préjugés envers les enfants qui font croire aux adultes qu’ils leur appartiennent et qu’ils peuvent les contrôler. Cette culture qui, comme le sexisme, imprègne la société tout entière, doit faire l’objet d’un examen critique pour être mise à distance.
Préconisation #1 :
Président de la République, Premier ministre et ministère chargé de l’enfance 
Le CESE appelle à un débat de société associant l’ensemble des acteurices concernées sur les droits des enfants et la nécessité de combattre l’infantisme. Ce débat doit conduire, comme pour le sexisme, à revoir les politiques publiques à l’aune de cette réflexion. »

Notre travail d'analyse est rappelé plus loin : « L’association l’Observatoire de la violence éducative ordinaire (OVEO) en a fait un bilan critique en novembre 2019. Ce bilan pointe la difficulté de qualifier et donc de quantifier et judiciariser cette violence. Il souligne la faiblesse des dispositifs proposés, reposant essentiellement sur l’existant. Il relève que les pouvoirs publics s’en remettent essentiellement aux acteurices, aux parents et aux associations sans impulsion ni innovation des politiques publiques. Cinq ans après la mise en œuvre de la loi, on ne dispose pas d’évaluation gouvernementale réactualisée.
L’OVEO propose que "des moyens de formation et d’information soient proposés pour mettre davantage en évidence la relation entre les violences faites aux femmes et le sexisme de l’éducation dans les familles, dans les institutions et la culture en général (culture de la compétition, de la domination adulte et masculine), ainsi que l’impact que pourrait avoir l’éradication de la violence éducative ordinaire sur la conscience sociale et écologique (solidarité, entraide, refus de la destruction, du gaspillage et de la marchandisation systématique des ressources naturelles et du vivant), à une époque où ces questions deviennent d’une urgence vitale". »

Le rapport et la synthèse sont en accès libre sur le site du CESE.

Septembre

24 septembre : Le média Combat accueille en cette rentrée 2024 une tribune par jour, de militants et militante pour la dignité des enfants et le respect de leurs droits fondamentaux. À lire sur combatlemedia.com (la première tribune est de Sophie Rabhi-Bouquet).

11 septembre : Analyse de Marion Cuerq en vidéo sur l'affaire de l'enseignante de maternelle ayant frappé une fillette dans sa classe (scène filmée par une maman qui filmait d’abord son propre enfant dans la classe). L'auteur de bande dessinée Remedium a également fait un compte-rendu sobre de cet événement, "Cas d'école – L'histoire de Hiba", abordant, comme peu de médias l'ont fait, la violence structurelle de l'institution. Nous souhaitons ajouter que si "Hiba" est bien le prénom de cette fillette (nous n'avons pas trouvé la confirmation après des recherches dans les différents éléments publiés par la presse), il y a fort à parier qu'au sentiment de légitimité d'agir violemment envers une jeune enfant (domination adulte), vient s'ajouter un certain racisme de la part de l'enseignante en question. En effet, les oppressions sont intersectionnelles et plus bas encore que les enfants blancs dans la hiérarchie sociale, se trouvent les enfants racisés. Une autre mère a témoigné en plateau que son propre fils avait été victime de violences de la part de cette même enseignante il y a 16 ans ; cette femme est noire.

Juin

6 juin : La Fondation pour l'Enfance publie la seconde édition de son "baromètre sur les violences éducatives ordinaires". Réalisée par l’IFOP auprès d’un panel représentatif de 1007 parents d’enfants âgés de 0 à 10 ans, l'étude révèle que la violence éducative ordinaire se maintient voire augmente au sein des familles, malgré une meilleure identification du phénomène et la reconnaissance de ses conséquences néfastes par les parents interrogés.

Mai

6 mai : LSD, la série documentaire sur France Culture propose cette semaine une série de 4 épisodes intitulée « Les enfants peuvent-ils parler ? ».
Le premier épisode (« Infans », celui qui n’a pas de voix) aborde le sujet de la minorité juridique et donne notamment la parole à d'anciens membres du collectif "Mineurs en lutte" de 1979. Le deuxième, "Entrer dans le rang" témoigne de la manière dont la culture, les valeurs et les jugements des adultes imprègnent très tôt la pensée et les discours enfantins. L'épisode "Le droit à l'innoncence" met en lumière le croisement et l'accumulation des discriminations et des dominations (racisme, colonialisme, domination de classe) et l'impact particulier sur certains enfants (et familles) en particulier.

Avril

23 avril 2024 : L'association Stop VEO lance une nouvelle campagne de communication, axée sur la transmission intergénérationnelle de la violence : L'héritage (youtube.com)

25 avril 2024 : Smacking a child is just an act of violence. Why do England and Northern Ireland still allow it? Dans cet article du Gardian publié à la suite de l'appel du 17 avril des médecins du Royal College of Paediatrics and Child Health, l'éditorialiste Frances Ryan, qui a été bénévole pendant 10 ans pour le numéro d'urgence Childine 1098 (équivalent du 119 en France), se demande pourquoi l'Angleterre et l'Irlande du Nord n'ont toujours pas de loi pour interdire le châtiment corporel des enfants, alors que l'Ecosse en a une depuis 2020 et le Pays de Galles depuis 2022.

23 avril 2024 : L'association Stop VEO lance une nouvelle campagne de communication, axée sur la transmission intergénérationnelle de la violence : L'héritage (youtube.com)

20 avril 2024 : "Les injonctions à plus de répression ne régleront pas la question de la violence", article de Jean-Pierre Thielland, membre de l'OVEO, sur le blog de Médiapart à la suite de l'intervention du Premier ministre sur "la violence des jeunes". (Nous avons également publié ce texte sur notre site.)
La prise de parole de Gabriel Attal a aussi fait réagir le 22 avril la journaliste Hélène Devynck dans une belle tribune parue dans Libération : "Gabriel Attal, on ne lutte pas contre la violence des enfants par la virilité toxique, par Hélène Devynck" (article réservé aux abonnés)

Mars

12 mars 2024 : La proposition de loi déposée par la député écologiste Isabelle Santiago qui protège les victimes de violences intrafamiliales a été adoptée à l'unanimité. 
Elle suspend l'exercice de l'autorité parentale, les droits de visite et d'hébergement pour un parent qui est poursuivi ou mis en examen pour un crime contre l'autre parent, pour une relation incestueuse ou pour tout autre crime sur son enfant. 

Février

12 février 2024 : À lire sur humanite.fr, "Les mots pour dire la domination adulte et les violences faites aux enfants", un article rédigé par 4 membres de l'OVEO (Cécile Kovacshazy, Daliborka Milovanovic, Daniel Delanoë et Gabriel Allegret) pour faire l'état des lieux du vocabulaire émergent qualifiant l'oppression des enfants.

Janvier

Comme de nombreux établissements alternatifs, le Lycée autogéré de Paris (LAP) est menacé depuis plusieurs années. Depuis 40 ans, cet établissement offre une alternative au lycée traditionnel au sein de l’Éducation nationale. Le LAP est aujourd’hui menacé dans son fonctionnement par le rectorat de Paris qui veut notamment le placer sous l’autorité d’un chef d’établissement et briser son projet d’origine.
Pour comprendre l'histoire, la situation et le projet du LAP, nous vous invitons à lire la tribune pour son maintien rédigée en novembre 2023 (parue dans Libération).
Et pour soutenir le LAP, nous vous invitons à signer la pétition : Le LAP doit rester autogéré !

2023

Décembre

12 décembre 2023 : Dans un avis adopté à l’unanimité ("Avis sur les morts violentes d'enfants dans le cadre familial (A-2023-6)"), la CNCDH formule une série de recommandations pour que les morts violentes d’enfants ne soient plus seulement des “faits divers” mais que des mesures soient prises pour mieux les identifier, les prévenir et les sanctionner.
La CNCDH formule une série de recommandations pour :

  • collecter des données complètes et fiables ;
  • mieux prévenir les violences, notamment en accompagnant les parents et en protégeant les enfants ;
  • améliorer le diagnostic médical ;
  • améliorer la réponse pénale.

Novembre

9 novembre 2023 : À écouter sur Binge Audio, le podcast en 5 épisodes « C'est quoi l'amour, maîtresse ? », par Lolita Rivé, institutrice en classe de CE1.

Octobre

9 octobre 2023 : Dans l’émission Être et savoir sur France Culture, Louise Tourret a reçu la pédopsychiatre et chercheuse à l’Inserm Laelia Benoit, qui a récemment écrit un court texte, Infantisme, publié aux éditions du Seuil (octobre 2023), et Sorj Chalandon, journaliste et écrivain dont le roman L’Enragé (Grasset, 2023), inspiré d’un fait réel, vient également de paraître.
Lire notre article complet à ce sujet

Juin

12 juin : dans sa lettre d'information, la CIIVISE (Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants) communique le coût estimé du "déni" (coût de l'impunité des agresseurs et conséquences sur le long terme pour les victimes) qui s'élèverait à 9,7 milliards d'euros par an.

Elle demande à pouvoir poursuivre ses travaux au-delà de décembre 2023, date à laquelle elle est censée mettre un terme à sa mission, initialement octroyée pour 2 ans.

L'association Mémoire Traumatique et Victimologie lance une nouvelle campagne 2023 avec une nouvelle pétition : 2023 - Campagne Stop à la mise en danger des victimes. Pour la protection et le soin des victimes de violences intra-familiales et sexuelles, elle propose 15 mesures urgentes :

  • Formation dès les études
  • Information destinée au grand public
  • Dépistage systématique
  • Obligation de signalement
  • Ligne téléphonique
  • Professionnels référents
  • Centres de crises
  • Centres pluridisciplinaires de prise en charge
  • Remboursement de frais
  • Amélioration de l'offre de soin
  • Augmentation des moyens aloués
  • Respect des droits et du consentement des victimes
  • Formation des experts aux psychotraumatismes
  • Soutien à la création de lieux de rencontres et d'échanges
  • Prise en charge des agresseurs dès les premières conduites violentes

Avril

5 avril 2023 : Daliborka Milovanovic est l'invitée de Célia Grincourt dans le podcast La force de la non-violence. Elles abordent ensemble la violence intrinsèque de la finalité éducative, l'idéologie adultiste qui structure nos sociétés et la manière dont notre modèle économique altère la perception de nos besoins, avec les conséquences que cela entraîne sur nos relations.  

Février-avril

Dans les épisodes 41, 42 et 43 (peut-être 44), Charlotte Bienaimé, créatrice d'Un podcast à soi (sur Arte Radio), s'intéresse à la domination adulte.
L'épisode 41, Quand les pères font la loi, aborde la (non-)protection des enfants par la Justice et la violence institutionnelle subie par les victimes en donnant la parole à des mères protectrices dont l'enfant endure de la violence physique, psychologique, voire sexuelle (inceste).
L'épisode 42, L'autodéfense des enfants, suit une intervention de Laura et Manon de l’association Garance (Belgique), qui proposent le programme CAP dans une école primaire. Cela permet d'écouter les conseils et propositions, et d'entendre la parole des enfants ainsi "empuissancés".
L'épisode 43, L'école de la violence, aborde le sujet de la violence éducative ordinaire et de la domination adulte. L'épisode alterne des récits d'enfants à propos des violences "ordinaires" qu'ils subissent et les interventions de Daniel Delanoë, psychiatre et anthropologue membre de l'OVEO, Julienne Rennes, sociologue travaillant sur les discriminations liées à l'âge, Elisabeth et Claire, du collectif SOS Périscolaire, Dorothée Dussy, anthropologue autrice du livre Le Berceau des dominations (éditions la Discussion, 2013), et Claire, militante féministe à l'origine du Collectif enfantiste. Les témoignages permettent de comprendre la violence induite par la structure même des institutions, la remise en cause récurrente de la parole des enfants, le lien entre cette éducation à se soumettre et l'assimilation peu à peu de la normalité du non-consentement et la création d'une certaine vulnérabilité.

Mars

23 mars 2023, dans Le Monde : À nouveau, un collectif de plus de 280 chercheurs et professionnels de l’enfance, publie ce jeudi 23 mars une tribune (Le recours à une éducation répressive est défavorable au développement de l’enfant) rappelant l’inefficacité et la dangerosité de principes éducatifs coercitifs revendiqués par des auteurs tels que Caroline Goldman (File dans ta chambre ! Offrez des limites éducatives à vos enfants). Alors que cette dernière écrit s’appuyer sur les préconisations du professeur Alain Kazdin, « ce dernier exprime ouvertement son désaccord concernant ce qu’elle décrit : “Cela va à l’encontre de tout ce que l’on sait grâce à la recherche sur le sujet” (podcast Papatriarcat, épisode 101). »
Nous soulignons le passage de la tribune qui nous semble le plus important : « La méthode éducative répressive repose sur une vision qui prête à l’enfant des intentions agressives ou manipulatrices à l’égard de l’adulte, ses comportements pouvant être interprétés comme un moyen de "faire plier l’autorité” ou encore comme "une contre-offensive”. Ce type de représentation risque d’augmenter en retour le recours à la violence, ou l’utilisation répétée et prolongée de l’exclusion comme une punition. »

Le 20 mars, dans son billet matinal En finir avec la honte sur France Inter, Sophia Aram parle pour la première fois de la violence de sa mère et répond aux propos de Cyril Hanouna, qui utilise le passé délinquant de cette mère pour contester le droit de sa fille à s'exprimer sur un sujet : « Lorsque Hanouna m’explique : “Sophia franchement occupe-toi de ta maman ma chérie. Qui a été condamnée à deux ans de prison dont six mois fermes. Sophia t’as déjà du boulot avec ta famille lâche-nous”, il dit tout de lui, de sa violence, de l’importance qu’il accorde à l’hérédité et au sang, comme porteur d’indignité, d’ignominie ou de déclassement… Mais toujours rien de moi. Alors si je n’ai jamais laissé ma mère faire de moi une victime, ce n’est pas pour laisser ce crétin et sa meute faire de moi leur victime. Parce qu’au fond de moi, je sais maintenant que je n’ai plus honte. »

2022

Vous pouvez nous signaler des articles importants (concernant la violence éducative ordinaire) à ajouter à cette revue de presse ! Pour cela, envoyez-nous un message à l'adresse publication@oveo.org.

Novembre

Le dernier livre d’Olivier Maurel, De l’enfant protégé à l’enfant corrigé, ou comment l’humanité est devenue maltraitante, est paru le 8 novembre 2022 aux éditions L’Harmattan.

Depuis plusieurs années, OIivier Maurel développe l'hypothèse selon laquelle l’humanité a commencé à éduquer ses enfants par la violence (châtiments corporels, pressions et humiliations) à partir du néolithique, avec l'apparition de l'agriculture et des sociétés hiérarchisées. Il cherche à comprendre comment un tel changement s'est produit dans un domaine aussi essentiel que la relation éducative et pourquoi on n'a jamais prêté attention à cette rupture majeure et à ses conséquences dans l'évolution de l'humanité.

Olivier Maurel décrit ainsi son travail sur ce livre : "Je crois que l’idée que je développe dans ce livre peut aider à faire comprendre que cette méthode d’éducation a contribué à rendre l’humanité violente et destructrice, portée à la fois à la domination et à la soumission, et continue à le faire dans tous les pays où elle n’a pas encore été interdite, c’est-à-dire 127 pays sur 190. Pour mémoire, les sociétés de chasseurs-cueilleurs, même s’il ne faut pas les idéaliser, existent depuis 300 000 ans. Mais les sociétés dont la plupart des membres ont subi le mode d’éducation violent n’existent que depuis 4 ou 5 000 ans et ont conduit la planète au bord de l’effondrement."

À voir : l'interview d'Olivier Maurel dans l'émission "Le journal d'une maman" le 17 novembre 2022 sur Radio JM (Marseille), à l'occasion de la sortie de ce livre. On peut aussi réécouter l'interview d'Olivier Maurel sur radio Beur FM mercredi 4 janvier 2023 (également disponible ici) et lire l'article de Jacques Trémintin dans le n° 1331 (janvier 2023) de Lien social (également en accès libre ici) :

Octobre

Jean-Pierre Thielland publie sur son blog (lesenfantslibres.canalblog.com) une réaction à la tribune parue dans le Figaro du 28 octobre 2022 dans laquelle des professionnels de l'enfance défendent la mise à l'écart (time-out) de l'enfant : Une tribune pour défendre le droit à isoler un enfant dans sa chambre

Jean-Pierre Thielland publie sur son blog (lesenfantslibres.canalblog.com) une critique du livre La culture de l'inceste (aux éditions Seuil, ouvrage co-écrit par Iris Brey, Juliet Drouar, Wendy Delorme, Dorothée Dussy, Sokna Fall, Ovidie et Tal Piterbraut-Merx) et fait le lien entre les mécanismes de la culture de l'inceste et ceux de la domination adulte et la violence éducative au travers de son commentaire.

Avril

L’équipe « Enfance » de La France insoumise a proposé aux éditions Le Hêtre Myriadis de publier le résultat de ses 4 années de travail sur cette thématique.
En attendant la version papier du livre, L'Enfance en commun est disponible gratuitement à la lecture sur le site de l’éditeur.
Il y est question d’adultisme dès le premier chapitre (portant sur les droits des enfants) – même si nous regrettons l'emploi de l'expression « violences éducatives » au pluriel (voir notre Déclaration de philosophie d'avril 2021).Le dossier qui avait été envoyé aux candidats à l’élection présidentielle de2017, rédigé par un collectif d'associations sous l'égide de l'OVEO, est utilisé en référence de l’introduction (lire notre lettre ouverte aux candidats et le dossier Voter une loi d'interdiction des violences éducatives ordinaires.

Janvier

20 janvier : L'Inserm publie un communiqué fournissant une nouvelle preuve, cette fois visible, des effets de la maltraitance sur le cerveau. (Voir notre article).


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