Progrès de la cause des enfants en Afrique
Le Burkina Faso prévoit l'interdiction des châtiments corporels dans toutes ces situations dans son projet de Code de protection de l'enfant. Les châtiments corporels y sont définis comme étant "toute sanction physique infligée à l'enfant par les parents, enseignants ou autres, par le moyen de coups ou blessures, mutilation, enfermement, marquage, rasage de cheveux ou autres moyens violents, humiliants ou avilissants".
La Guinée Bissau a l'intention de soumettre un projet de loi au Parlement pour interdire les châtiments corporels.
La Zambie, le Niger, l'Afrique du Sud, l'Ethiopie annoncent une évolution dans le même sens.
Cette évolution est encourageante.
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